Le surentraînement est un phénomène qui affectte négativement la performance et qui peut avoir des répercussions sur la santé physique et l’équilibre psychologique des athlètes.
Qui peut être en surentraînement ?
Le syndrome de surentraînement peut atteindre tous les sports.
Peuvent être en surentraînement les sportifs ayant un entraînement inadapté aux capacités de récupération, qu’ils soient amateurs ou sportifs de haut niveau.
Pourquoi est-on en surentraînement ?
Le surentraînement est favorisé par une augmentation brutale de l’entrainement (durée, intensité, fréquence), mais aussi par des erreurs diététiques, et les éléments de la vie extra sportive.
Plusieurs facteurs physiologiques expliquent l’état de surentraînement : déséquilibre du fonctionnement musculaire, déséquilibre métabolique, déséquilibre hormonal.
Quelles sont les conséquences du surentraînement ?
Il provoque une fatigue durable, une perte d’efficacité, une diminution des performances sportives et une fragilisassions de l’organisme (augmentation de la sensibilité aux infections).
Quand suspecter le surentraînement ?
On peut suspecter le surentraînement à travers une fatigue générale, physique ou intellectuelle et il provoque des insomnies.
L'entraînement augmente mais les performances diminuent et provoque des douleurs musculaires (sensibilité accrue aux blessures et infections).
Le sportif peut ressentir des troubles psychologiques tel qu'une baisse de la libido, une dépression, des troubles du sommeil et une perte d’appétit, des troubles digestifs ou il peut subir une prise de poids inexpliquée.
Comment soigner le surentraînement ?
Le seul moyen de lutter contre le surentraînement est le REPOS ! Le repos sportif est indispensable et peut durer plusieurs semaines ou plusieurs mois en fonction de l’intensité du surentraînement. Certains sportifs remarquant une baisse de performances augmentent l’entrainement et aggravent donc leur état de surentraînement.
Le surentraînement cérébral
Des travaux sur le surentraînement ont révélé qu'une pratique sportive trop intense pouvait avoir une action néfaste sur le psychisme. En examinant des sportifs de haut niveau, les physiologistes ont observé chez certains d'entre eux une fatigue chronique associée à un ensemble de modifications psychologiques et comportementales.
Le surentraînement est favorisé par une augmentation brutale de l’entrainement (durée, intensité, fréquence), mais aussi par des erreurs diététiques, et les éléments de la vie extra sportive.
Plusieurs facteurs physiologiques expliquent l’état de surentraînement : déséquilibre du fonctionnement musculaire, déséquilibre métabolique, déséquilibre hormonal.
Quelles sont les conséquences du surentraînement ?
Il provoque une fatigue durable, une perte d’efficacité, une diminution des performances sportives et une fragilisassions de l’organisme (augmentation de la sensibilité aux infections).
Quand suspecter le surentraînement ?
On peut suspecter le surentraînement à travers une fatigue générale, physique ou intellectuelle et il provoque des insomnies.
L'entraînement augmente mais les performances diminuent et provoque des douleurs musculaires (sensibilité accrue aux blessures et infections).
Le sportif peut ressentir des troubles psychologiques tel qu'une baisse de la libido, une dépression, des troubles du sommeil et une perte d’appétit, des troubles digestifs ou il peut subir une prise de poids inexpliquée.
Comment soigner le surentraînement ?
Le seul moyen de lutter contre le surentraînement est le REPOS ! Le repos sportif est indispensable et peut durer plusieurs semaines ou plusieurs mois en fonction de l’intensité du surentraînement. Certains sportifs remarquant une baisse de performances augmentent l’entrainement et aggravent donc leur état de surentraînement.
Le surentraînement cérébral
Des travaux sur le surentraînement ont révélé qu'une pratique sportive trop intense pouvait avoir une action néfaste sur le psychisme. En examinant des sportifs de haut niveau, les physiologistes ont observé chez certains d'entre eux une fatigue chronique associée à un ensemble de modifications psychologiques et comportementales.
Le lobe frontal est situé dans la partie antérieure (avant) des hémisphères cérébraux, situé derrière le front. Il est responsable de la coordination des mouvements. Il contient les centres chargés du contrôle musculaire.